Cette phrase est incompréhensible… Puisque dans les faits ce sont bien les enfants avec troubles qui ont des difficultés dans les apprentissages et donc à l’école. Le HQI parfois masque un peu le trouble dys ou le TDA/H, et encore si le trouble est peu sévère, mais lorsqu’un enfant est très dyslexique, le HQI ne peut pas empêcher la difficulté de lecture. Ce sont ces enfants avec troubles qui consultent en majorité les psychologues.
Le titre de ce livre de Florence Balitout place le haut potentiel au même niveau que les troubles DYS et le TDAH, avec le terme diagnostiquer. C’est un comble. Il faut rappeler avant tout, que le haut potentiel n’est pas un trouble du développement de l’enfant.
Mais ce n’est pas la première fois que l’éditeur de Boeck édite des contre vérités, au sujet du haut potentiel. Ils pensent que cela va mieux se vendre. La véracité scientifique leur importe peu.
Pour cette autre psychologue C Assenheim : « un cerveau qui fonctionne « plus » et « plus vite« . Et, précise-t-elle, « cela n’a rien à voir avec l’intelligence« . » hum, hum. Humour ?
Octobre 2020 :
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