L’émission de France 2 « Prodiges » va se renouveler la semaine prochaine. On peut remarquer le talent de ces jeunes et la précocité de leur dons. Dans le cas de la musique , le don est toléré, voire magnifié, et fort heureusement. Il nous transmettent leur joie et leur énergie, parce qu’on na pas éteint leur don. Que serait-on sans la musique de Mozart ?
Dans le cas du don intellectuel, c’est le contraire. On parle de trouble de l’apprentissage, d’échec scolaire, de handicap, de scarifications, de malheur, et j’en passe. Comme dans cette émission qui prône le malheur (à tort), comme si tous les surdoués étaient comme cela…
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Je remets en avant ce message d’une journaliste qui m’a assuré vouloir montrer les surdoués sous un jour positif.
Oui, je sais, on pourra dire que pour l’interprétation de ces œuvres géniales, l’à-peu-près, le « moyen » n’est pas de mise, on pourra dire qu’on aurait pu trouver de meilleurs talents dans les grandes écoles, on pourra dire que les prestations sont inégales. Eh bien personnellement, contrairement au grand spécialiste Francis Wolff , je dirais que de voir, sur le vif, l’émotion, les efforts, le travail, l’engagement, la sincérité, le mérite de ces jeunes artistes est extrêmement stimulant, instructif et réconfortant.