Je voulais lire son livre sur les femmes surdouées, puis sur le site des éditions du Net, j’ai pu feuilleter les premières pages de celui-ci que je me suis empressée d’acheter.
Le titre peut prêter à confusion , il aurait fallu qu’elle mette  » atteint » entre guillemets.Son propos est de lutter contre la pathologisation actuelle de la douance.
Que ce soit au niveau de l’Education Nationale, qu’au niveau des ouvrages et articles de vulgarisation qui presentent les surdoues grands et petits comme des handicapés, des êtres malheureux , en souffrance et ce d’une manière inéluctable.

Elle insiste sur le fait que ce n’est pas la douance qui crée les troubles, les difficultés, mais l’environnement (scolaire , familial, sociétal, etc..).

J’en suis à la moitié et pour l’instant, j’apprécie le propos. Il faudra vraiment que je me procure « Les surdoués ordinaires » de Gauvrit , pour pouvoir comparer , leur approche du sujet semblant aller dans le même sens.

En tous les cas, lire qu’il faut arréter avec le politiquement correct qui fait dire « les surdoués ne sont pas plus intelligents, mais ont une intelligence différente », le tout argumenté, fait quand même du bien.

Si je ne procrastine pas, une fois fini, j’essayerai de vous faire un compte rendu plus détaillé. »

Que le lecteur (lectrice) ne procrastine pas trop !  MERCI en tous cas

le commentaire précédent se terminait ainsi :

 » Je suis content, j’ai l’impression que j’ai bien fait de commencer ma lecture avec le livre de Mme Kirchgessner.

À 18 ans, je découvre le monde de la politique et à 21 ans celui de la douance. J’ai l’impression que c’est la même chose moi, je vote « je suis surdoué, et je suis optimisme » ! »

Après la lecture d’un livre triste, cela fait du bien de lire le site  adultesurdoue.fr !