Ce qui différencie véritablement les enfants doués de Arielle Adda

La chronique d’Arielle Adda est publiée aujourd’hui dans le Journal des femmes.

Voici le début :

« La définition ordinaire des personnes douées se réfère au fameux QI, supérieur au seuil fatidique de 130 correspondant à 2,3 % d’une population sur une échelle donnée, la moyenne étant fixée à 100.

A partir de là, on explique que les personnes douées ne sont pas seulement plus rapides,  qu’elles ont des idées en plus grand nombre, mais qu’elles raisonnement différemment.  Il y aurait une différence de nature entre une personne douée et une autre, située dans la moyenne. Elles ne seraient pas plus intelligentes, elles posséderaient une intelligence différente.

Pourtant, les tests ont été étalonnés sur une population suffisamment nombreuse et représentative de l’ensemble de la population d’un pays donné. Ceux qui sont au bout de cette courbe de Gauss répondent à davantage de questions, connaissent la signification précise d’un plus grand nombre de mots et résolvent plus de problèmes en un temps plus court. S’ils étaient vraiment différents, leur raisonnement ne tarderait pas à dévier pours’écarter d’une norme dûment étalonnée. »

Pour lire l’article  cliquer sur  le Journal des femmes

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