J’ai recopié , avec la permission de son auteur, un commentaire écrit sur Facebook au sujet de mon livre. Pour ceux qui ne seraient pas sur ce réseau social !
Ce commentaire montre qu’il a bien lu le livre et compris le message que je voulais apporter dans le monde « complexe » de la douance. Ce message doit être d’autant plus étudié attentivement quand on sait que certains sites et associations normalement dédiées à cette « cause » (je n’aime pas tellement ce mot mais là je n’en trouve pas d’autre) n’ont tout simplement pas répondu à mon mail informant de la parution de mon livre…
Ce livre, je le rappelle, est préfacé par J C Terrassier, qui est considéré et que je considère, comme l’un des plus grands spécialistes français du haut potentiel ! Et le premier ! Et le créateur de l’ANPEIP. (Association Nationale Pour les Enfants précoces). Son livre « Les enfants surdoués ou la précocité embarrassante » est toujours l’un (si ce n’est le plus) des plus pertinents sur le sujet, il est toujours réactualisé , la dernière version date de 2014. J C Terrassier a de plus une renommée internationale.
Qu’est-ce qui permet à ce journaliste d’écrire dans cet article récent, je cite :
« Un enfant surdoué sur trois est en échec scolaire dans le secondaire.
50 % des précoces sont considérés comme de mauvais élèves à l’issue de la 3e, notamment les garçons.
Source : ANPEIP (Association nationale pour les enfants intellectuellement précoces) »
Comment vivre au quotidien avec un enfant précoce
RIEN
COMME L’ECRIT J.C TERRASSIER DANS LA PREFACE DE MON LIVRE, JE CITE : « Une statistique valide est difficile à établir » JCT
Le commentaire sur Facebook :
« Cela fait plaisir de voir enfin un livre qui dénonce toutes les souffrances que l’on accole erronément aux personnes à haut potentiel et qui écarte ainsi toute la sphère psychologique voire psychiatrique qui n’est pas inhérente à la surdouance.
Car cela devient bientôt risible d’être HP …
Cela me fait penser à mon amie qui une fois qu’elle avait terminée ses études avec la plus grande distinction en neuropsychologie m’a dit : « tu sais Yves, avec ce que j’ai appris à l’université pendant ses longues années d’études, je serais totalement incapable de soigner ces personnes à haut potentiel » car en effet il n’y que très peu d’études crédibles en la matière et très peu scientifiquement prouvables.
Alors je me pose la question : qu’est-ce qui permet à un psychologue et encore moins à un psychiatre de se déclarer spécialiste dans les HP ? .. » YC