Archives de catégorie : Actualite

eduscol

Voici un lien vers le portail national des professionnels de l’éducation eduscol.
Il concerne les élèves intellectuellement précoces.
mis à jour le 12 septembre 2013.
 
http://eduscol.education.fr/cid59724/eleves-intellectuellement-precoces.html

et aussi :

 
 
« Enfin, une attention particulière devra être accordée aux élèves intellectuellement précoces (EIP), pour qu’ils puissent également être scolarisés en milieu ordinaire. À cet effet, dès la rentrée 2013, chaque enseignant accueillant dans sa classe un élève intellectuellement précoce aura à sa disposition sur Éduscol un module de formation à cette problématique. »

 

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Conférences internationales de L’ADCHP et l’ANPEIP Tarn-et-Garonne 5 et 6 octobre 2013

Je relaie l’information des conférences que l’on m’a envoyée :

L’ADCHP et l’ANPEIP Tarn-et-Garonne ont le plaisir de vous informer de la tenue de deux jours de conférences internationales

5 et 6 octobre 2013
Université Paul Sabatier – Grand auditorium – route de Narbonne
TOULOUSE – France

Le développement du haut potentiel et du talent au XXIe siècle
The development of giftedness and talent in the 21st century

 

Des intervenants internationaux, spécialistes du thème, apporteront leur éclairage :

Pr Françoys Gagné – Canada
Professeur – chercheur associé au département de psychologie de l’université de Montréal
« Le pourquoi et le comment d’un véritable développement des talents scolaires selon le MDDT »

Pr. Steven Pfeiffer – États-Unis
Professeur – chercheur en psychologie de l’orientation et en psychologie scolaire, université de Floride
« Apprendre les leçons pour les enfants à haut potentiel : la capacité n’est pas suffisante et la force du cœur fait la différence »

Pr Javier Touròn – Espagne
Professeur – chercheur en sciences de l’éducation, université de Navarre
« La recherche du talent, le développement du talent : nos écoles sont-elles préparées pour le défi ? »

Pr Laurence Vaivre-Douret – France
Professeur des universités en psychologie du développement – chercheur INSERM – Paris
« Spécificités développementales du jeune enfant à hautes potentialités ».

Pr Pierre Fourneret – France
Professeur de psychiatrie infanto-juvénile, université Claude Bernard – Lyon
« Précocités, adolescence et sentiments : un dilemme inconciliable ? »

Roya Klingner – Allemagne
Maître de conférences à l’université d’Erlangen – Nuremberg
Fondatrice et responsable du Global Center for Gifted and Talented Children
« La meilleure pratique pour le développement du haut potentiel et des talents au XXIe siècle ».

Programme
Samedi 5 octobre 2013
09h – 10h Accueil
10h – 10h30 Cérémonie d’ouverture
10h30 – 11h30 Pr Françoys Gagné – Canada
11h 30 – 13h30 Buffet
13h30 – 14h30 Pr Pierre Fourneret – France
14h30 – 15h Pause café
15h – 16h Pr Steven Pfeiffer – Etats-Unis
16h – 16h30 Pause café
16h30 – 17h30 Pr Laurence Vaivre-Douret – France
17h30 – 19h30 Visite culturelle
Dimanche 6 octobre 2013
9h – 10h Pr Javier Touròn – Espagne
10h – 10h30 Pause café
10h30 – 11h30 Roya Klingner – Allemagne
11h30 – 13h30 Buffet
13h30 – 14h Gâteau anniversaire Pr Françoys Gagné
14h – 14h30 Cérémonie de clôture
14h30 – 16h30 Visite culturelle

Cette conférence internationale compte déjà parmi les inscrits des professionnels venus d’Australie, du Viêt-Nam, d’Afghanistan, de Turquie, de Pologne, de Grande-Bretagne, de Suisse, de Belgique et bien entendu de France.

Les conférences auront lieu en anglais et français avec traduction consécutive et s’adressent à un public de professionnels de l’éducation, de la santé mais aussi aux responsables et membres d’associations, aux parents d’enfants ou adultes à haut potentiel.

Nous comptons sur votre présence pour que ces journées soient le fruit d’échanges productifs pour la compréhension et l’accompagnement des enfants et des adultes à « Haut Potentiel ».

Téléchargez l’affiche

Téléchargez le bulletin d’inscription

Renseignements complémentaires : adchp31@yahoo.com

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Albert Jacquard

Il y a quelques jours disparaissait Albert Jacquard, de nombreux commentateurs ont salué le grand homme humaniste…mais en matière de surdoués, l’humanisme d’Albert Jacquard s’évanouissait subitement. Dés qu’il le pouvait , il fustigeait les surdoués, des gens qui « allaient vite », des gens qui ne réfléchissaient pas, il disait à qui voulait l’entendre dans les medias divers que l’intelligence , ce n’était pas la vitesse. certes non… Il disait aussi que les enfants surdoués n’existaitent pas…(en 1997)…il disait beaucoup de choses auxquelles on pouvait adhérer, au sujet de l’égalité entre les humains, à quoi cela sert-il d’aller vite ? etc…

Certes oui, mais lorsque l’on a engendré des enfants qui vont vite…plus vite que les autres petits copains…que fait-on ? on les freine ? On les bloque ? On les brime ?  On leur dit « tu n’apprendra à lire que à 6 ans ! comme tout le monde ! On les laisse se déprimer et pleurer ?

NON   cela , ce n’est pas de la vraie humanité.  La vraie humanité, c’est que chacun puisse marcher à son rythme et être heureux.  alors faisons fonctionner notre cerveau !

http://www.youtube.com/watch?v=DpzRONla_RU

 

http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20130912.OBS6824/albert-jacquard-qu-est-ce-que-cela-veut-dire-l-intelligence.html

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LES EXPERTS EUROPE 1 comment accompagner un enfant surdoué?

Je viens d’écouter l’émission des experts sur Europe 1 intitulée « comment accompagner un enfant surdoué ? »

pour réécouter   :  http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emissions/Les-experts-Europe-1/

 

Plusieurs choses me viennent à l’esprit :

les thèmes abordés sont emplis de négativité et de désepérance, comme :  grand risque d’échec scolaire , de dépression, risque de désocialisation. il faut bien dire que si cela est vrai pour certains enfants doués , cela n’est pas vrai en général.

J’ai entendu également que le décalage affectif/intelligence est grand, c’està dire que l’enfant doué ne peut exprimer ce qu’il ressent parcequ’il manque de mots, etc…cela n’est pas exact, bien au contraire, pour certains leur lucidité affective est très grande, voire immense…

La psychologue interviewée semble être contre les sauts de classe,  se basant sur les exemples d’enfants qui ont le bac à 14 ans…mais un saut d’une année ou de deux classes entraine le bac à 17 ans , 16 ans tout au plus.  (ou 15 ans , cela dépend du mois de naissance).  Dans mon expérience , j’ai rencontré beaucoup d’enfants en réussite qui avaient sauté des classes…et beaucoup d’enfants en échec qui n’avaient pu sauter. Il faut néanmoins que les sauts se passent dans les petites classes, si possible et envisager au cas par cas.

Enfin , une énorme publicité a été faite au sujet des classes ou écoles  « spécialisées ».  Je mets en garde très vivement les parents au sujet de ces écoles.  Renseignez-vous bien auparavant. ..Pour avoir effectué un stage dans une de ces écoles, ( cette année) je ne pourrai raconter par charité ce que j’y ai vu…mais je peux vous dire qu’elle n’avait de « spécialisée » que le nom…et franchement cela coûtait extrêmement cher pour ce qu’elle proposait….De plus , elle concentrait des enfants en très grande difficulté.

Alors même si l’enfant a des difficultés à l’école, il faut tout faire pour le laisser dans le milieu scolaire « ordinaire », public ou privé, en changeant d’école , si besoin, et en ajoutant des activités extra-scolaires.

 

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Surstimulation

Je regarde « les Maternelles », cette émission de France 5  de temps en temps et depuis longtemps. Cette semaine,  une émission concernant la surstimulation des enfants et des bébés m’intéressait, alors je l’ai visionnée. De très grosses allusions à la précocité y ont été faites, comme « les parents qui veulent un enfant précoce, les parents qui veulent faire un surdoué etc… ». je ne me souviens pas des mots exacts…des sujets sur la précocité ont déjà été faits dans cette émission et il semblait que le message y était bien compris…par les journalistes…les parents d’enfants précoces le savent bien, ils freinent bien souvent leur enfant plutôt qu’ils ne le sur stimulent !

Pour couronner le tout, on nous apprend qu’une émission sera projetée la semaine prochaine au sujet de la GPA , Gestation pour Autrui, interdite en france, en présence des deux hommes du documentaire « naître père »…Ce documentaire , je l’ai vu deux fois…avec toujours la même révolte, devant l’arrachement à leur mère à la maternité aux USA des deux bébés. J’aurais pu crier « stop ! arrêtez ! pourquoi faire subir cela à un enfant ? » devant mon écran…mais cela ne sert à rien …Alors j’écris cet article, dicté par ma révolte, devant tant d’inconscience…On sait aujourd’hui , d’après les expériences récentes en psychologie du développement, que les bébés interagissent avec leur mère dès 6 mois in utero… et que l’interaction mère-enfant est très importante durant la première année…mais dans ce documentaire , seul le désir d’enfant des deux hommes est primordial…alors , plus on apprend sur la psychologie de l’enfant , plus on fait n’importe quoi ?

Mais pour un bon nombre de personnes, il faut être moderne, accepter l’inacceptable, c’est à dire , « arracher » des bébés tout juste nés à leur mère.  Mais il me semble que c’est une forme de maltraitance. On ne se pose pas la question des enfants aînés de cette femme qui assistent à « l’abandon » par leur mère de ses deux bébés, ce qui doit quand même être très compliqué à gérer pour des enfants. Que ressentent-ils ? On le devine losque la petite fille de la mère porteuse dit très pertinemment : « il n’aura pas de maman le bébé ? ».

Après la femme-objet, l’enfant-objet !

Alors ma conclusion , Les Maternelles France 5 sont décevantes

Et je ne vais plus dorénavant de regarder cette émission…il vaut mieux lire un bon livre…

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Le langage de l’enfant doué de A. Adda

Un excellent article  Le langage de l’enfant doué de A. Adda en date du 17.06.2013 sur le Journal des femmes

A. adda explique si bien en termes « choisis » la pertinence parfois jalousée  de certains enfants doués. Ils paraissent  prétentieux mais ne le sont pas du tout en réalité.  C’est juste « qu’ils parlent bien  » !  Inutile de dire que ce langage souvent peut apporter des quiproquos et des déconvenues, surtout s’ils font de l’humour en plus, qui n’est pas toujours compris…

Je n’ai pas connu trop de « problèmes » de langage, mais  plutôt des questions directes…une anecdote :  Alors que j’attendais des résultats de sang pour savoir si j’attendais le petit troisième, mon fils aîné  me dit devant le petit voisin (12 ans) médusé : « Alors maman, tu es enceinte , ou pas ? »,  ce qui venant d’un enfant de 6 ans peut paraître surprenant !

 

Le langage de l’enfant doué

 

« Les enfants doués ont, semble t-il, un langage bien à eux. Arielle Adda, vous donne les clés pour les comprendre.

Souvent, les adultes se sentent désarçonnés non seulement par les questions innocemment posées par les enfants doués, mais aussi par leurs réponses surprenantes.
Une grille de lecture de cette attitude devient alors nécessaire : on s’étonnera moins, non pas parce qu’on aura compris qu’on peut s’attendre à tout de la part d’un enfant doué, mais parce qu’on saisira pour quelles raisons il a posé cette question, absurde en apparence, ou bien pourquoi  il a répondu de façon bizarre à une question banale et anodine.
Tout d’abord, il y a cette utilisation extrêmement précise du vocabulaire, un mot approximatif jette une ombre de doute sur la signification de la phrase toute entière.
On dit un peu partout que les enfants doués ne comprennent pas l’implicite, ils ont besoin d’entendre, ou de lire, des questions clairement formulées, sans aucune équivoque. A la moindre incertitude dans la formulation, leur imagination sans limites leur fait, sur le champ, entrevoir les multiples interprétations possibles tandis qu’ils se sentent dans l’incapacité la plus totale d’en privilégier une.
Une consigne d’apparence élémentaire peut leur sembler totalement incompréhensible : la maîtresse s’étonne, les camarades s’esclaffent, les parents s’inquiètent et eux-mêmes ne comprennent pas ce qui leur est arrivé. Parfois, il est vrai, cette consigne leur a paru tellement simple qu’elle devait, à coup sûr,  receler un piège : ils se sont donc engagés dans des méandres compliqués à la recherche de ce piège sournoisement tapi derrière cette formulation, trop enfantine pour ne pas être suspecte, et ils se sont définitivement égarés dans un labyrinthe devenu d’une complexité inouïe.

D’ailleurs, quand ils passent un test, il est judicieux de leur rappeler, de temps à autre, qu’il n’y a pas de piège et qu’une réflexion simplement bien menée doit suffire pour leur permettre de parvenir à la réponse attendue. En effet, parfois, on devine les rouages  qui s’enclenchent dans leur cerveau pour les mener sur des chemins tellement tortueux que quiconque s’y perdrait immanquablement.
Rappelons au passage que si tout est toujours trop facile, ils finiront par se lasser de faire tourner à vide ces mécanismes : ils se donnent du mal à la recherche d’un résultat qu’ils imaginent difficile à atteindre et qui se révèle finalement dérisoire.

Ce sérieux, presque exagéré dans l’approche d’une tâche, contraste avec leur goût pour les jeux de mots, les plaisanteries fondées sur des à peu près qui les enchantent.
Le plaisir éprouvé par les enfants doués à rechercher la formulation la plus précise et la plus élégante possible est manifeste, mais, pour eux, il s’agit d’une nécessité : s’exprimer de façon confuse serait trahir leur pensée et donc leur personnalité même. Le mot exact, impossible à remplacer sans fausser l’expression de ses idées, est un impératif absolu. Tout échange verbal doit donc respecter ce souci de précision.
Dès lors, on comprend mieux pour quelles raisons le dialogue est si difficile et comporte vite des malentendus : les autres élèves sont encore étrangers à cette recherche, leur vocabulaire n’est pas suffisamment étendu pour qu’ils aient un grand choix de mots, ils répèteraient plus volontiers des phrases entendues, de façon à se rassurer : déjà proférées par d’autres, elles doivent donc refléter une pensée réfléchie et être aisément compréhensibles…
Infatigable lecteur, l’enfant doué a amassé un vocabulaire considérable et, de surcroît, il n’hésite pas à utiliser un terme littéraire et même précieux : il l’a lu, il n’est donc pas tombé en désuétude, il confère une certaine allure aux phrases.  « A qui ai-je l’honneur ? » demande tout naturellement un enfant occupant accidentellement le poste de standardiste à la maison.
En contrepartie, celui qui s’applique à formuler ses idées avec une telle netteté s’attend à la pareille de la part de ses interlocuteurs et il est stupéfait  lorsqu’il entend un discours cent fois entendu, convenu,  composé de phrases toutes faites et tellement banales qu’elles sont finalement vidées de leur contenu. C’est avec un étonnement profond qu’il entend des adultes proférer avec une conviction qui le surprend chaque fois des phrases répétées à la télévision. Lui qui aime tant parler avec des grandes personnes parce qu’il apprend toujours quelques chose d’intéressant, entend ressasser des mots en séries comme s’il fallait meubler un silence, comme si celui qui parle ne voulait pas prendre le risque d’énoncer une idée trop originale. Tous s’en tiennent prudemment à des lieux communs,  énoncés avec un sérieux mal  assorti aux fadaises  débitées.

Ces idées ressassées risquent de scléroser l’esprit : l’écart entre le discours propre à l’enfant doué et celui de son environnement se creuse parfois de plus en plus : on ne comprend pas ce qu’il dit puisqu’on ne s’attend pas à tant de clarté, de pertinence, d’originalité de pensée et aussi d’humour de la part d’un enfant encore si jeune et lui ne saisit pas forcément le sens du discours convenu, formaté pour le niveau de compréhension qu’on attribue à un enfant de son âge.

Ce malentendu risquerait de durer encore de longues années si on ne prend pas la peine d’écouter, sans pour autant tomber  dans une admiration béate, ces phrases tantôt dictées par un cœur généreux, tantôt par une réflexion subtile,  tantôt par une imagination d’une insondable fertilité, toutes qualités évitant l’ennui à l’entourage de ces enfants qu’on doit se garder de ramener à une « norme » dont ils ne cessent de s’écarter pour enrichir encore leur créativité. » A.ADDA

http://www.journaldesfemmes.com/maman/expert/54529/le-langage-de-l-enfant-doue.shtml

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blog d’un surdoué

J’ai découvert un nouveau blog d’un jeune surdoué :

(cliquer sur l’image)

Il décrit d’une façon très fine ce qu’il ressent au niveau des 5 sens. Il prend de la ritaline depuis peu et décrit le pourquoi de cette prise de médicament,  les avantages et inconvénients de ce médicament.

 personnellement , je pense qu’il faut faire très attention à ne pas confondre douance et hyperactivité (TDH/A).

Certains enfants surdoués semblent hyperactifs car ils sont très « actifs ».

Certains enfants sont diagnostiqués hyperactifs à tort alors qu’il sont des enfants à haut potentiel. Olivier Revol explique très bien les questions à se poser  : L’enfant hyperactif est turbulent dans tous les cas, à l’école, à la maison, chez les grands-parents, au sport,  etc…alors que l’enfant précoce sait se concentrer lorsqu’il le faut.  Mais il peut être très turbulent s’il s’ennuie trop et paraitre hyperactif.  Comme l’enfant précoce s’intéresse à beaucoup de choses, de même que l’enfant hyperactif ,  les deux cas de figure peuvent être confondus.

Vous pouvez visionnez ces deux excellentes émissions des « Maternelles »  France 5 avec O Revol  (12/2010). (11/2012). La ritaline doit être prise uniquement si la vie est impossible pour l’enfant hyperactif, mais pas dans le cas d’un enfant et adulte doué.  J’était moi-même très active, toujours en mouvement, très turbulente…mais je savais me concentrer à l’école quand il le fallait. Je suis une adulte aujourd’hui très calme,  toujours très vive d’esprit.

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Un reportage de TF1 assez long sur le sujet Michelet de Nice qui a ouvert des classes pour surdoués depuis de nombreuses années. A ce titre ils ont une très grande expérience.
Un reportage que j’ai trouvé relativement correct malgré quelques imprécicions. L’enfant Marius aurait plus de 160 de QI , cela n’est pas possible avec le test de Wechsler (maxi à 160). Cela signifie simplement qu’il a explosé sans doute les scores aux subtests et que l’on ne peut savoir s’il pouvait avoir plus en score. C’est le problème des tests qui ont été créés pour une population générale et non pas pour tester les hauts potentiels.
Dans le reportage certains enfants semblent ne pas parler « normalement » et ne pas pouvoir se mêler aux autres , ce qui n’est pas le cas de tous les surdoués bien entendu. Il y a des enfants précoces qui ont une intégration sociale très grande, qui jouent au foot, font du vélo, qui aiment faire du shopping (pour les filles), etc….
Mon opinion sur ces écoles, ne les privilégier qu’en cas de dernier recours, si les possibilités de scolarisation ne sont plus possibles dans le système scolaire classique , public ou privé. Pour un enfant jeune , il est préférable d’aller à l’école de son quartier, pour ne pas faire les déplacements , et ne pas dépenser les 1000 e par mois.
Ce reportage montre très bien que lorsque les enfants à haut potentiel ont la possibilité d’avancer à leur rythme, ils peuvent réussir sans problème.
Cela prouve (non scientifiquement) qu’il ne faut pas toujours écouter les mauvais augures de certains enseignants qui disent , « non ! ne l’avancez pas… il(elle) va se planter plus tard ».

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