L’enfant doué et ses rêveries de Arielle Adda

Un nouvel article de Arielle Adda est publié sur le journal des femmes,   l’enfant doué et ses rêveries. c’est un sujet peu abordé, la rêverie étant souvent stigmatisée comme quelque chose de négatif. Alors qu’il n’en est rien, la rêverie est indispensable pour la créativité. l’imagination des enfants surdoués étant souvent surprenante ! Il faut l’accueillir positivement, et surtout ne pas dire  : « oh toi et ton imagination… ».

« L’enfant doué et ses rêveries

La propension des enfants doués à s’évader dans des rêveries interminables est bien connue. Une rêverie nécessaire et bénéfique.

Cette faculté leur est précieuse lorsqu’ils entendent répéter inlassablement des notions qu’ils pensent connaître depuis toujours : on parle souvent d’ennui concernant les enfants doués alors qu’ils savent très bien éviter ce sentiment inconfortable, il faudrait plutôt parler de déception, de frustration, d’agacement, quand ils attendent de l’école des découvertes qui ne viennent pas.

Ils s’octroient donc sans vergogne le plaisir d’arpenter de vastes espaces, qu’ils occupent grâce aux fruits de leurs lectures : le plus souvent, les enfants doués aiment lire. Dans les livres, ils puisent avec un bonheur pur toutes sortes de matériaux pour agrémenter, peupler et enrichir chaque jour les univers qu’ils se construisent….

Sans la merveilleuse imagination des enfants doués nous serions privés de tous les bonheurs qui agrémentent l’existence : contemplation des œuvres d’art, paix de l’harmonie musicale et plongées bienheureuses dans de passionnants récits. »

 

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Une réflexion sur « L’enfant doué et ses rêveries de Arielle Adda »

  1. Ah oui, j’ai 50 ans mais toute ma vie − ça c’est espacé quand même − on m’a répété avec irritation, dépit ou lassitude (ou envie parfois) que j’étais un rêveur. Je considère vraiment la rêverie comme mon principal mode d’exploration, de découverte et connaissance. C’est de là que les pensées me viennent. Je les appelle «songeries»

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