« L’enfant doué et la rentrée » article d’Arielle Adda

 

 Un article de l’an dernier mais toujours d’actualité, écrit par Arielle Adda.

« La rentrée est souvent chargée d’un peu d’angoisse pour tous les enfants. Rares sont ceux qui ignorent le pincement bien spécifique rongeant sournoisement le cœur des écoliers. L‘enfant doué lui, vit la rentrée à sa façon.

  1. L’école maternelle
    Quand il entre pour la première fois en maternelle, il est particulièrement heureux et excité à l’idée de pénétrer dans un lieu magique où il va découvrir quantité de choses nouvelles et intéressantes.

    • Du bonheur à la déception

    Première déconvenue : il s’aperçoit que les autres enfants pleurent désespérément et il pense alors qu’il n’a pas dû très bien comprendre ce qu’on lui a expliqué. Loin d’entrer dans un paradis, il va pénétrer dans un enfer où ses parents, pourtant aimants et attentifs, sont obligés de le conduire.

    L’enfant doué, tout comme l’adulte doué, pense toujours que les autres savent mieux que lui la façon dont il faut se comporter ; il a l’impression de ne pas posséder le mode d’emploi de l’existence que les autres connaitraient tout naturellement. On voit bien que ce sentiment, flou mais persistant, s’installe très tôt dans la façon dont les individus doués perçoivent la vie sociale… »

  2. la suite  :  http://www.journaldesfemmes.com/maman/expert/52155/l-enfant-doue-et-la-rentree.shtml
Share

Une réflexion sur « « L’enfant doué et la rentrée » article d’Arielle Adda »

  1. Merci de votre commentaire.Dans les écoles indépendantes à but non lucratif, les parents déboursent en moyenne, selon l’estimation de l’association Creer son école,160 euros par mois pour le primaire et 260 euros pour le secondaire. Mais les coûts peuvent varier selon le projet pédagogique de l’école, le matériel nécessaire à sa réalisation, la localisation provinciale ou parisienne de l’école etc. La liberté scolaire a un coût : les parents font des sacrifices pour que leur enfant accède à l’éducation dont il a besoin. Mais les écoles publiques ou sous contrat ont parfois également un coût élevé : un coût élevé pour la collectivité (parmi les plus élevés de l’OCDE d’ailleurs pour des résultats très médiocres) mais aussi un coût pour les familles car leurs défaillances conduit les familles à consommer, en plus des cours gratuits de l’école publique, des cours de soutien scolaire payants (10 heures de cours par mois reviennent environ à 160 euros par mois après réduction d’impôt de 50% !). Rares sont les enfants du hors-contrat qui recourent à des cours du soir payants, ces écoles proposant un suivi individualisé et des études surveillées performants.

Répondre à Ognjen Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *